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sur site le 30-01-2004
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Classe de André SOMMARIO, beau-père de Pierre . Il est le premier au troisième rang à gauche. Il habitait 1 rue Monpensier dans les tournants Rovigo. |
| -----Question du
Déjanté : « Mais!!!Mais? Bizarre autant qu'étrange.
Comme l'a remarqué notre Sherlock de service, Jean
Soler, bien qu'il y ait l'inscription "école Dupuch",
cette photo semble donner à penser qu'il s'agit de l'école
Dordor (pilier cental où sera fixé la plaque en l'honneur
de mr.Dordor, les escaliers en arrière-plan, les conduites d'eau
de part et d'autre). Serait-il possible qu'avant de s'appeler Dordor, cette
école se soit appelée Dupuch mais pour les garçons
??? Qu'en pensez-vous? -----Réponse du Déjanté : « Voilà ce que j'en pense , vu que j'ai trouvé ce morceau de texte sur mon site :«« En janvier 1908, l'école de garçons dont François Xavier est directeur n'est plus avenue Gandillot (où elle se trouvait alors) mais rue Dupuch. François Xavier est l'un des 51 directeurs d'écoles primaires publiques d'Alger. Son traitement annuel, constant depuis 1903, est de 3500 francs, dont 2800 francs pour " faire la classe ". Avec ses 11 instituteurs titulaires (dont les archives d'Outre Mer ont gardé les noms) et ses 10 classes d'enseignement primaire, de la quatrième à la première comme on disait alors, l'école de la rue Dupuch est en 1908 la seconde à Alger par sa taille. François Xavier Dordor reste à son poste jusqu'à sa mort en 1913, sans être mis à la retraite. Il laisse son nom à l'école de la rue Dupuch. Mais s'agit-il déjà des bâtiments dont les anciens élèves se remémorent l'entrée principale dans les escaliers de la rue Levacher ? |
| Note d’Albert SOLER : d’après
lui il y aurait 2 classes sur cette photo : -la première, peut-être celle de la partie gauche, verrait les élèves de la 4ème classe dont l’instituteur était surnommé " Papa Chinois " en raison de sa moustache à la chinoise -la deuxième, sur la partie droite, serait elle-même divisée en deux : une partie de la classe dirigée par Mr CECCALDI (aucun lien de parenté avec notre Jean-Baptiste CECCALDI) affublé du doux sobriquet de " Papa 5 " (pour cause de coups de règles sur le bout des doigts, si vous voyez ce que cela veut dire) et qui préparait à l’accession au cours complémentaire ; enfin l’autre moitié, si l’on peut dire, destinée au diplôme de Fins d’Études était dirigée par Mr PÉQUIGNOT. |
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De haut en bas, de gauche à droite: |
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